Pour L.
Dans tes rêves lointains, sur ton lit voyageur,
Tu parcourais le monde, pour voir ses mille couleurs
Humer ses fragrances, partager des repas,
Que l’Autre entre en toi ; la Terre t’ouvre ses bras.
Il n’est nul besoin d’avion ou de train
Pour mettre en lumière la jungle du lointain,
Tes plus grands voyages seront en Val-De-Marne
Ce vaste territoire sera ta lucarne.
Pas besoin de miles, pour courir la sphère
Pour se débarrasser de ses vils préjugés,
Ton voisin l’indigène peut les bouleverser
A chacun d’inventer son propre planisphère ;
A mes yeux azurs, tu es l’aventurière
Pour laquelle mon regard ne peut se défaire.
mercredi 12 octobre 2016
Poème
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