Le tout jeune Christophe Gans, pas encore vingt ans, se doutait-il en rédigeant cette critique du superbe "La Belle et la Bête" de Juraj Herz (Panna a netvor, 1979) qu'il réaliserait à son tour, presque 35 ans plus tard, sa propre version du fameux conte immortalisé au cinéma par Jean Cocteau ? Ce hasard est comme la rose à laquelle tient tant la Bête, une parure du Destin.
(Texte paru dans L'écran fantastique numéro 12, premier trimestre 1980)
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