Alors que les films catastrophes sont souvent
métaphysiques, perdant l’homme au cœur d’une nature vaste et infinie le
renvoyant soudainement à sa petitesse, A la dérive reste fermement ancré à l’amour d’un couple dont la vie
commune serait lapidairement résumée à son début et à sa fin. Entre les deux,
les vagues des souvenirs malmènent les âmes tel un ressac violent.
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